AA GARDER LA MEMOIRE ET LA PARTAGER

Publié par daniel debeaume

Au Siècle des Lumières, une femme Mme Geoffrin, joua un grand rôle dans l'Histoire de la Manufacture Royale des Glaces. Ici dans l'éclat de son salon, célèbre dans toute l'Europe, donnant lecture de " l'Orphelin de la Chine " de Voltaire, elle recevait ambassadeurs ou représentants des puissances étrangères. ( voir album, Historique de la Manufacture Royale des Glaces).

La ‘maison de société ‘ de la rue Saint-Honoré.

Toutes les sociétés du temps, aristocratique, financières ou autres ont eu besoin d’un lieu ou puisse s’exercer leur pratique. L’hôtel élevé par la famille Geoffrin est être idéalement disposé aux cœurs des extensions Louis-quatorziennes du secteur de la place Vendôme. Elle fait partie des constructions qui vont parachever et façonner la rue Neuve-Saint-Honoré, laquelle deviendra l’une des plus animées et des plus à la mode du Paris de Louis XV.

La Glacerie de Tourlaville (Manche).

Au fur et à mesure des années, la Manufacture Royale des Glaces se transformat en ayant acquis de nouvelles Glaceries et d'une Soudière.

La Glacerie de Cirez-sur-Vezouze, suite à un apport de la société de Saint-Quirin en 1858.

La glacerie de Saint-Gobain, au premier l'entrée

La Glacerie de Saint-Gobain repose effectivement sur les fondations d’un ancien château-fort,s’agissant d’un château des sires de Coucy. (voir l’album pour son Histoire et celle de la construction de la Glacerie).

1922, en venant de Montmacq et du canal latéral à l'Oise, une petite ligne de chemin de fer servait à alimenter la Glacerie en matières premières. Le transbordeur et ses 52 wagonnets n'étant pas encore construits.

Le déchargement des bateaux de sable ou de charbon est effectué en quatre heures par 2 grues de 3 tonnes montées sur portique et ensuite acheminé par le transbordeur au sein de la Glacerie.

les fours à pots

Les fours à pots, au premier plan un pot prêt à être enfourné.

•la sortie d'un pot d'un des fours.

l'étalement du produit d'un pot sur la table

souvenirs de jeunesse pour danser au dancing de la boule d'Or à Thourotte avec l'orchestre d'Antoine Tonini

Ou sont passés les bals et fêtes d’antan, qui animés par de multiples et diverses associations, par les municipalités, donner de la vie à nos villages, nos villes. Aujourd’hui, c’est la télévision aux crimes permanents, belle éducation ? la publicité envahissante, facebook, internet, les smartphones, quelle tristesse

:::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::

Création du site, année 2006

Plus de 50 000 documents et photos

A ce jour, 155 375 visiteurs ayant vus 828 122 pages

de gauche à droite, Michel Gay, Jeannine Harlé,Jean-Pierre Bouché, Nicole Lebail, Daniel Debeaume, Danielle Bouché, (accroupi), Serge Deweer, Françoise Nimmegeers t

Daniel Debeaume au commande du lambretta, avec Michel Frénoy

de g à droite, Richard Baudet, Guy Fernez, Daniel Debeaume, Serge Deweer,Bernard Deligny

vacances au pays basque, de d à g, Daniel Debeaume, Maurice Rifaut, Serge Bourel, Serge Deweer, Bernard Deligny, sur le rocher, se trouve Bourel Gaëtan sur la troisiémes photos

vacances au pays basque, de d à g, Daniel Debeaume, Maurice Rifaut, Serge Bourel, Serge Deweer, Bernard Deligny, sur le rocher, se trouve Bourel Gaëtan sur la troisiémes photos

Par ces temps qui courent, il est bon de réver de ces iles lointaines, ou le soleil dans un ciel bleu ne se couche jamais, de ces plages de sable fin, de la mer avec ces eaux turquoises, de leurs musiques envoutantes accompagneés de jolies filles.

Partager cette page

Retour à l'accueil